Danse

One Shot

Ousmane Sy
30.04.2025

Figure mondiale de la scène hip hop, Ousmane Sy – subitement disparu en 2020 – s’est imprégné de la house dance découverte dans les clubs de New York et de Chicago. Comme Queen Blood ovationné la saison passée au Escher Theater, son ultime spectacle fait danser une équipée exclusivement féminine, propulsée cette fois en direct par les platines d’un DJ. Joueuses et combatives, confondantes de précision, ces femmes se lancent dans d’insolents solos ou font corps toutes ensemble. Avec l’énergie exaltante des « battle », elles créent un espace de fête, d’expression de soi et de partage, dans une furieuse envie de vivre.

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Prochaines séances ouvertes au public

Informations

  • Durée 60 min.
  • Lieu Théâtre
  • Plein tarif Cat. 1 : 20 €
    Cat. 2 : 16 €
  • Jeunes Cat. 1 : 9 €
    Cat. 2 : 8 €
  • Enfants Cat. 1 : 4.50 €
    Cat. 2 : 4 €
  • Aller plus loin Dossier de présentation

Distribution

Chorégraphie Ousmane Sy assisté d’Odile Lacides Lumières Xavier Lescat Son et arrangements Adrien Kanter Costumes Laure Maheo Regards complices Kenny Cammarota, Valentina Dragotta, Audrey Minko DJ (en alternance) Sam One DJ, DJ SP Sunny, Yugson Avec 8 danseuses (en alternance) Audrey Batchily, Allauné Blegbo, Cynthia Casimir, Marina de Remedios, Valentina Dragotta, Chris Fargeot, Johanna Faye, Nadia Gabrieli Kalati, Cintia Golitin, Linda Hayford, Odile Lacides, Audrey Minko, Anaïs Mpanda, Mounia Nassangar, Stéphanie Paruta Crédit photo Timothée Lejolivet

Production

Commande et production Théâtre de Suresnes Jean Vilar / Festival Suresnes cités danse 2021 Production déléguée Collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne Accueil en résidence Théâtre de Suresnes Jean Vilar ; CCN de Rennes et de Bretagne Soutien Cités danse connexions ; Initiatives d’Artistes en Danses Urbaines / Fondation de France, La Villette 2020

Dans la presse

La Croix

« Un formidable organe vital commun. Un idéal mis en mouvement par des artistes féminines à la puissance communicative. »

Le Monde

« Cette afro-house, irradiée de voix féminines dont celles de Busiswa Gqulu, Ane Brun ou Nina Simone, mixées avec la collaboration d’Adrien Kanter, donne du ressort aux tricots de jambes rapides et légers des interprètes. »

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